Pour Nicolas Samarcq, trésorier de l'Association française des correspondants à la protection des données à caractère personnel (AFCDP), "le principal problème des petites structures, c'est la méconnaissance du sujet, que ce soit le risque technique de perte des données sans back-up, ou le risque de non-conformité lié à la mauvaise gestion des données. La sensibilisation est souvent externe, soit suite à un incident (technique ou de gestion), soit de par les exigences des clients."
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